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arlota enfocó su energía en el poder, empeñándose
de aportar bienestar y progreso a su pueblo.
Cuando su marido no estaba, la emperatriz
tomaba las riendas del gobierno.
Charlotte a concentré son énergie sur le pouvoir,
cherchant à apporter le bien-être et le progrès à son peuple.
Quand son mari n'était pas là,
l'impératrice prenait les rênes du gouvernement.
Así, fue responsable de la fundación
de innumerables escuelas y de la construcción de la línea ferroviaria entre la
capital y Veracruz.
Pero también sabía comportarse como
primera dama cuando Maximiliano regresaba.
Ainsi, elle fut responsable de la fondation
d'innombrables écoles et de la construction de la ligne de chemin de fer entre
la capitale et Veracruz.
Mais elle savait aussi comment se comporter
en première dame lorsque Maximilien revenait.
Poco a poco la Emperatriz se enamoró
de su país de acogida
Peu à peu, l'impératrice tomba amoureuse de son pays
d'accueil et de ses habitants.
Pero la
felicidad Carlota terminó de pronto. Su
padre, el rey Leopold, murió en Bruselas.
Mais le bonheur de Charlotte se termina soudain. Son père,
le roi Léopold, décéda à Bruxelles.
El impacto es difícil, ella siente "la sensación de perder su único apoyo". Y este golpe se agregó a todos aquellos que ya había recibido en silencio. Tres meses después, es su abuela Marie-Amélie, el ángel tutelar de Charlotte, que muere.
Le choc est dur, elle éprouve « le sentiment de perdre son unique soutien. Et ce coup s’ajoutait à tous ceux qu’elle avait déjà reçus en silence. Trois mois plus tard, c’est sa grand-mère Marie-Amélie, « l’ange tutélaire de Charlotte », qui décède.
Y para empeorar las cosas, la situación en México se complicó.
Charlotte se derrumba. Angustia, luto, depresión.
Et pour aggraver les choses, la situation au Mexique se compliqua.
Charlotte s’effondre. Angoisse, deuil, dépression.
La aceptación
de los Emperadores por parte de sus súbditos, no fue en ningún caso unánime o
permanente.
L'acceptation des empereurs par une partie de leurs
sujets, ne fut ni unanime ni permanente.
La constante
represión del ejército, así como el excesivo carácter liberal de Maximiliano,
lo puso en contra tanto a conservadores como al clero, condujeron a una
situación insostenible, alimentada por una desastrosa gestión de las arcas
públicas que degeneró en la bancarrota.
La répression constante de l'armée ainsi que le caractère
libéral excessif de Maximilien, qui le mettait à la fois contre les
conservateurs et le clergé, menèrent à une situation intenable, alimentée par
une gestion désastreuse des caisses publiques qui dégénéra en faillite.
El orden público solo pudo mantenerse mediante
intervención del ejército francés, porque las fuerzas liberales de
Juárez fueron mucho más poderosas de lo que Maximiliano podría haber imaginado.
L'ordre public put seulement se maintenir que par
l'intervention constante de l'armée française, car les forces
libérales de Juarez furent beaucoup plus puissantes que Maximilien avait pu l’imaginer.
Es por eso que el ejército imperial
nunca logró controlar completamente el territorio mexicano.
Benito Juárez dirigió a la nación a través de un gobierno en movimiento, con la ayuda de periodistas que atacaron constantemente la imagen de Maximiliano.
Benito Juárez dirigió a la nación a través de un gobierno en movimiento, con la ayuda de periodistas que atacaron constantemente la imagen de Maximiliano.
C'est pourquoi l'armée impériale ne réussit jamais à
contrôler complètement le territoire mexicain.
Benito Juarez dirigea la nation à travers un gouvernement en mouvement avec l'aide de journalistes qui ont constamment attaqué l'image de Maximilien.
Benito Juarez dirigea la nation à travers un gouvernement en mouvement avec l'aide de journalistes qui ont constamment attaqué l'image de Maximilien.
En 1866, el ejército francés decidió
abandonar las tierras aztecas y dejar a los emperadores a su destino, cada vez
más sometidos a las presiones de los opositores a la monarquía.
En 1866, l'armée française décida d'abandonner les terres
aztèques et de laisser les empereurs à leur destin, de plus en plus soumis aux
pressions des opposants à la monarchie.
Carlota, confiada, no quería renunciar a sus planes, por lo que le prohibió a Maximilien abdicar.
Charlotte, confiante, ne voulait pas abandonner ses
projets, pour lesquels elle interdit à Maximilien d’abdiquer.
“Abdicar
es sólo aceptable en ancianos o en imbéciles, no es la manera de obrar de un
príncipe de treinta y cuatro años”, le espetó al Emperador.
« Abdiquer
n'est acceptable que chez les anciens ou les imbéciles, ce n'est pas la façon
d'agir d'un prince âgé de trente-quatre ans », lança-t-elle à
l'empereur.
Lejos de dejar toda la responsabilidad de la situación, a su esposo, Carlota decidió emprender un viaje a Europa para pedir ayuda y recordarle a Napoleón III los compromisos asumidos en el Tratado de Miramar.
Loin de laisser toute la responsabilité de la situation, à
son mari, Charlotte décida d’entreprendre un voyage en Europe pour demander de
l'aide et rappeler à Napoléon III les engagements pris dans le Traité de
Miramar.
El 9 de julio
de 1866, Carlota se despidió de Maximiliano con lágrimas y dolor. La gente se despidió de él con los versos de Vicente Riva Palacio, una
canción, conocida ahora como "Adiós, Mamá Carlota":
Le 9 juillet 1866, Charlotte dit au revoir à Maximilien
avec larmes et douleur. Les gens lui dirent au revoir
avec les couplets de Vicente Riva Palacio, une chanson, connue maintenant sous le nom de:
Feliz el marinero
Canta en voz lenta
Y el ancla ya está subiendo.
Con un extraño rumor.
El barco se va al mar
Rebotando qué bola.
Adiós, Mamá Carlota;
Adiós, mi tierno amor... "
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