VIII- L'offre de la couronne mexicaine.



E

3 de octubre de 1863, Maximiliano recibió a la delegación mexicana, que le leyó la solicitud oficial de los mexicanos de llevar la corona y ocupar el trono de México.
Por medio del Tratado de Miramar, Napoleón III ofrecía sus tropas a su disposición.
Le 3 octobre 1863, Maximilien reçut la délégation mexicaine, qui lui lut la demande officielle des mexicains de porter la couronne et d’occuper le trône de Mexico.
Par le Traité de Miramar, Napoléon III offrait de mettre à sa disposition ses troupes.

Maximiliano, que había leído mucho sobre México, conocía sus riquezas naturales y sabía que el país tenía el potencial de convertirse en un imperio de primer orden mundial.
Maximilien, qui avait beaucoup lu sur le Mexique, connaissait ses richesses naturelles et savait que le pays avait le potentiel de devenir un empire de premier ordre mondial.

Charlotte, viéndolo como un signo de la providencia y un encuentro místico con el Señor, reaccionó de manera bastante frívola:
Emperador! ¡ese es el verdadero título que necesitas! ¡Y seré Imperatriz ! ".
Charlotte y voyant un signe de la providence et un rendez-vous mystique avec le Seigneur, réagit, plutôt frivolement :
« Empereur! c’est le vrai titre qu’il te faut ! Et je serai Impératrice!».



Ella pensando solo en el delicioso chocolate mexicano, en las cacatúas multicolores y en los burros cargados de vainilla, embriagada por el perfume de aventura, instó a su querido “Maxl” para aceptar.
Carlotta, ne pensant qu'aux jolies Mexicaines grignotant du chocolat, aux cacatoès multicolores et aux ânes chargés de vanille, grisée par le parfum d'aventure, poussa son cher « Maxl » à accepter.

¿A qué podría temer?
Francia proporcionaría dinero y un ejército de 25,000 soldados que permanecerían cerca de él para fortalecer su poder.
Napoleón III lo ayudaría con todas sus fuerzas, incluso aceptando dejar la Legión extranjera, 8,000 hombres, durante otros seis años después de la partida de la fuerza expedicionaria.
Que pouvait-il craindre ?
La France fournirait de l'argent et une armée de 25 000 soldats qui demeureraient près de lui afin d'affermir sa puissance. 
Napoléon III l'aiderait de toutes ses forces, acceptant même de laisser encore durant six années la Légion étrangère, forte de 8 000 hommes, après le départ du corps expéditionnaire.


Y entonces, ¿no estaba ahí ella, Carlota?
Ambos, gracias a la fuerza de su amor, superarían las dificultades y reinarían alegremente en un imperio onírico poblado por indios con sombreros puntiagudos y envueltos en mantas rojas.
Et puis, n’était-elle pas là, elle Charlotte ?
A eux deux, grâce à la force de leur amour, ils surmonteraient toutes les difficultés et régneraient heureux sur un empire de rêve peuplé d’indiens coiffés de chapeaux pointus et enveloppés dans des couvertures rouges.



Si bien el archiduque ya había encontrado felicidad en su retiro de Castillo de Miramar, vencido por su esposa, aceptó emprender esta aventura idílica.
Bien que l'archiduc ait déjà trouvé le bonheur dans sa retraite au château de Miramar, convaincu par son épouse, il accepta de se lancer dans cette aventure idyllique.

México les ofreció la oportunidad de eliminar todas las afrentas que habían conocido hasta ahora, así como la de fortalecer la felicidad de su matrimonio.
Le Mexique leur offrait l’opportunité de laver tous les affronts qu’ils avaient connu jusque-là, ainsi que celle de renforcer le bonheur de leur couple.

Por desgracia para la pobre Carlota, ninguna provisión de felicidad sería suficiente para soportar el peso de las desgracias que la esperaban ...
Hélas pour la pauvre Charlotte, aucune provision de bonheur ne serait suffisante pour supporter le poids des malheurs qui l’attendaient...

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