XVII-la folie s'empare de charlotte


C

uando las fuerzas francesas comenzaron a retirarse, la emperatriz decidió ir a buscar apoyo para su esposo contra el ejército liberal que ganaba terreno todos los días.
Lorsque les forces françaises ont commencé à se retirer, l'impératrice décida d’aller chercher du soutien pour son mari contre l'armée libérale qui gagnait du terrain chaque jour.

Durante su largo y terrible viaje a Europa, Carlota, que amaba profundamente a Maximiliano y lo veía como el único hombre en su vida, desarrolló una fuerte ansiedad al dejar a su amada, comenzó a sentir los estragos de la tensión y a desconfiar de quienes la rodeaban.
Au cours de son long et terrible voyage pour l’Europe, Charlotte, qui aimait profondément Maximilien et le voyait comme le seul homme de sa vie, développa une forte anxiété de quitter son bien-aimé, elle commença à ressentir les ravages de la tension et à se méfier de ceux qui l'entouraient.

Este fue quizás el primer punto que desencadenó su desequilibrio emocional. 
Ce fut peut-être le premier point qui déclencha son déséquilibre émotionnel.



En La entrevista tormentosa con el Emperador, empezó a mostrar algunos signos de trastorno mental; decepcionada por su negativa y nerviosamente agotada perdió el conocimiento.
Lors de l’entrevue orageuse avec l'empereur, elle commença à montrer des signes de désordre mental ; déçue par son refus et nerveusement épuisée, elle perdit connaissance.

Y fue en el momento en que llegó a sus sentidos que gritó a Eugenia que le dio un cordial jugo de naranja:
"¡Veneno, siempre veneno! ... ¡Déjame, eres un asesino!
Et ce fut au moment où elle reprit conscience qu'elle cria à Eugenie qui lui donna un jus d'orange cordial :
 "Poison, toujours poison ! ... Laisse-moi, tu es un meurtrier !

“¡Que Napoleón sea un envenenador no es una proyección, es una realidad!  ¡Envenenó sus vidas! »
« Que Napoléon soit un empoisonneur, ce n'est pas une projection, c'est une réalité ! Il a empoisonné leurs vies ! »



Carlota, perseguida por una angustia despiadada, pronto se apoderó de un miedo furioso de ser envenenada. Sabía que su vida corría peligro y, a través de su desequilibrio, solo una cosa contaba: la prudencia, porque sabía que la muerte la esperaba.
Charlotte, poursuivie par une angoisse impitoyable, fut rapidement saisi d’une peur furieuse d'être empoisonnée.
Elle savait que sa vie était en danger et, par son déséquilibre, une seule chose comptait : la prudence, car elle savait que la mort l'attendait.

A partir de ese momento, se negó a comer y beber lo que se le ofrecía por temor a ser envenenada y comenzó a comer solo fruta, beber agua de fuentes públicas, dormir en la calle e incluso dar grandes espectáculos públicos, refiriéndose a lo que Juárez quería envenenarla.
A partir de ce moment-là, elle refusa de manger et de boire ce qui lui était offert, de peur d'être empoisonnée et commença à ne manger que des fruits, à boire de l'eau des sources publiques, à dormir dans la rue et même à donner de grands spectacles publics, faisant référence à ce que Juarez voulait l’empoisonner.



El 18 de octubre de 1866, Maximiliano fue informado por telegrama de que su esposa había sido golpeada por una congestión cerebral.
Culpándose a sí misma por arrastrarla a semejante drama: “Charlotte era demasiado frágil para soportar la carga de la aventura mexicana”.
En cuanto a él, había estado demasiado ausente, no la había cuidado y, sobre todo, había sido demasiado infiel para hacerla una esposa feliz.
Le 18 octobre 1866, Maximilien fut informé par télégramme que sa femme avait été frappée par une congestion cérébrale.
Il se reprocha de l'avoir entraînée dans un tel drame : “Charlotte était trop fragile pour supporter le fardeau de l'aventure mexicaine”.
Quant à lui, il avait été trop absent, ne s’était pas occupé d’elle, et surtout avait été trop infidèle pour en faire une femme heureuse.

Mientras tanto, para Carlota prisionera de su locura e ignorando de lo que estaba sucediendo en México, Miramar, el castillo de cuento de hadas, construido para servir de nido de amor, se había convertido en un remanso de locura.
Pendant ce temps, pour Charlotte, prisonnière de sa folie et ignorant ce qui se passait au Mexique, Miramar, le château de conte de fées, construit pour servir de nid d'amour, était devenu un havre de folie.



Sus arrebatos de locura, sus períodos violentos seguidos por momentos impredecibles de lucidez, indicaban que la curación de Charlotte, en lugar de acercarse, parece estar alejándose.
Ses éclats de folie, ses périodes violentes suivies par des moments imprévisibles de lucidité, indiquaient que "la guérison de Charlotte, au lieu de s’approcher, semblait s’éloigner.

Se sentía en la ventana de su habitación, convencida del inminente regreso de su esposo, explorando incansablemente el horizonte con la esperanza de que el barco que lo traerá de vuelta “Maximiliano, amo de la tierra" aparezca.
Elle s’asseyait à la fenêtre de sa chambre, convaincue du retour imminent de son mari, explorant inlassablement l'horizon dans l'espoir que le navire qui ramènerait "Maximilien, maître du pays" apparaisse.


Después algunos meses, la emperatriz fue llevada al castillo de Tervuren en Bélgica, especialmente dispuesto para la soberana.

Todos recibieron recomendaciones estrictas para mantener el secreto de la muerte de Maximiliano no juzgándola lista para enfrentar tal horror.

Après quelques mois, sa famille l’emmena au château de Tervuren en Belgique, spécialement aménagé pour la souveraine.

Tout le monde avait reçu des recommandations strictes pour garder le secret de la mort de Maximilien, la jugeant pas prête à faire face à une telle horreur.



La condición de Charlotte mejoró día a día. Los signos de demencia se desvanecieron. Ella hablaba poco, pero sin extraviarse, y cubría una dignidad sonriente que tranquilizó a todos.

La condition de Charlotte s'améliora de jour en jour. Les signes de démence s'estompèrent. Elle parlait peu, mais sans se « perdre », et recouvrait une dignité souriante qui rassura tout le monde.


Le château de Tervueren fut construit à partir de 1817 par Guillaume d’Orange, roi des Pays-Bas. Charlotte, ancienne impératrice du Mexique et sœur du roi Léopold II, y habita de 1867 à 1879, année où le château fut complètement détruit par un incendie.



A comienzos de 1868, en vísperas de la repatriación del cuerpo de Maximiliano en Viena, la familia real belga cree que ya no podemos "dejarnos en la ignorancia de su doloroso duelo de esta joven, sin embargo, cuando anunció la muerte valiente.
Au début de 1868, à la veille du rapatriement du corps de Maximilien à Vienne, la famille royale belge estima qu’ils ne pouvaient plus la laisser dans l’ignorance de ce douloureux deuil.



Sin embargo, cuando se le anunció, Charlotte no creyó una palabra en la historia y ella respondió: "el día en que reaparece ante mí, cubierto de gloria y aclamado por la tierra postrada a sus pies. Él me hará subir a su lado en el trono del mundo ".

Cependant, quand on lui annonça Charlotte ne crut pas une seule parole de l’histoire et elle répondit : « le jour où elle réapparaîtrait devant moi, couvert de gloire et acclamé par la terre prosternée à ses pieds. Il me fera monter à ses côtés sur le trône du monde ».






En enero de 1869, tras la muerte trágica de su sobrino, la emperatriz cambia de nuevo en las fantasías, en la obsesión de la persecución arrebatos violentos, ausencias, discursos incoherentes, en definitiva, el delirio.

En janvier 1869, après la mort tragique de son neveu, l'impératrice retomba encore dans ses fantasmes, dans l'obsession de la persécution, des explosions violentes, des absences, des discours incohérents, bref, le délire.


En la noche del 10 de diciembre de 1868, Charlotte tuvo un sueño que va a cambiar sus convicciones.

Maximiliano se le apareció para decirle que esto no es su cuerpo, sino un muñeco de madera que fue enviado a Europa. En consecuencia, Charlotte puso fin a su luto y durante cuatro meses ennegrecerá miles de páginas.

Dans la nuit du 10 décembre 1868, Charlotte fit un rêve qui va changer ses convictions.

Maximilien lui est apparu pour lui dire que ce n'était pas son corps, mais une poupée en bois qui avait été envoyée en Europe.
Par conséquent, charlotte mit fin à son deuil, et pendant quatre mois elle va noircir des milliers de pages.



Terrible observación, la decadencia de una princesa de veintiséis años, que se había casado con la desgracia cuando pensó que se había casado con el príncipe azul.
Terrible constat, la déchéance d’une princesse de vingt-six ans, qui s’était mariée avec le malheur alors qu’elle croyait avoir épousé le prince charmant.




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