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uando las fuerzas francesas
comenzaron a retirarse, la emperatriz decidió ir a buscar apoyo para su esposo contra el ejército liberal que
ganaba terreno todos los días.
Lorsque les forces françaises ont commencé à se retirer,
l'impératrice décida d’aller chercher du soutien pour son mari contre l'armée
libérale qui gagnait du terrain chaque jour.
Durante su largo y terrible viaje a
Europa, Carlota, que amaba profundamente a Maximiliano y lo veía como el
único hombre en su vida, desarrolló una fuerte ansiedad al dejar a su amada,
comenzó a sentir los
estragos de la tensión y a
desconfiar de quienes la rodeaban.
Au cours de son long et terrible voyage pour l’Europe,
Charlotte, qui aimait profondément Maximilien et le voyait comme le seul homme
de sa vie, développa une forte anxiété de quitter son bien-aimé, elle commença
à ressentir les ravages de la tension et à se méfier de ceux qui l'entouraient.
Este fue quizás el primer punto que
desencadenó su desequilibrio emocional.
Ce fut peut-être le premier point qui déclencha son
déséquilibre émotionnel.
En La entrevista tormentosa con el
Emperador, empezó a mostrar algunos signos de trastorno mental; decepcionada
por su negativa y nerviosamente agotada perdió el conocimiento.
Lors de l’entrevue orageuse avec l'empereur, elle
commença à montrer des signes de désordre mental ; déçue par son refus et nerveusement
épuisée, elle perdit connaissance.
Y fue en el momento en que llegó a sus
sentidos que gritó a Eugenia que le dio un cordial jugo de naranja:
"¡Veneno, siempre veneno! ... ¡Déjame, eres un asesino!
Et ce fut au moment où elle reprit conscience qu'elle cria
à Eugenie qui lui donna un jus d'orange cordial :
"Poison, toujours poison ! ... Laisse-moi, tu
es un meurtrier !
“¡Que Napoleón sea un envenenador no es una proyección, es una
realidad! ¡Envenenó sus vidas! »
« Que Napoléon soit un empoisonneur, ce n'est pas
une projection, c'est une réalité ! Il a empoisonné leurs vies ! »
Carlota, perseguida por una angustia
despiadada, pronto se apoderó de un miedo furioso de ser envenenada. Sabía que
su vida corría peligro y, a través de su desequilibrio, solo una cosa contaba:
la prudencia, porque sabía que la muerte la esperaba.
Charlotte, poursuivie par une angoisse impitoyable, fut
rapidement saisi d’une peur furieuse d'être empoisonnée.
Elle savait que sa vie était en danger et,
par son déséquilibre, une seule chose comptait : la prudence, car elle savait
que la mort l'attendait.
A partir de ese momento, se negó a
comer y beber lo que se le ofrecía por temor a ser envenenada y comenzó a comer
solo fruta, beber agua de fuentes públicas, dormir en la calle e incluso dar
grandes espectáculos públicos, refiriéndose a lo que Juárez quería envenenarla.
A partir de ce moment-là, elle refusa de manger et de
boire ce qui lui était offert, de peur d'être empoisonnée et commença à ne
manger que des fruits, à boire de l'eau des sources publiques, à dormir dans la
rue et même à donner de grands spectacles publics, faisant référence à ce que
Juarez voulait l’empoisonner.
El 18 de octubre de 1866, Maximiliano
fue informado por telegrama de que su esposa había sido golpeada por una
congestión cerebral.
Culpándose a sí misma por arrastrarla
a semejante drama: “Charlotte era demasiado frágil para soportar la carga de la
aventura mexicana”.
En cuanto a él, había estado demasiado
ausente, no la había cuidado y, sobre todo, había sido demasiado infiel para
hacerla una esposa feliz.
Le 18 octobre 1866, Maximilien fut informé par télégramme
que sa femme avait été frappée par une congestion cérébrale.
Il se reprocha de l'avoir entraînée dans un
tel drame : “Charlotte était trop fragile pour supporter le fardeau de
l'aventure mexicaine”.
Quant à lui, il avait été trop absent, ne
s’était pas occupé d’elle, et surtout avait été trop infidèle pour en faire une
femme heureuse.
Mientras tanto, para Carlota prisionera
de su locura e ignorando de lo que estaba sucediendo en México, Miramar, el
castillo de cuento de hadas, construido para servir de nido de amor, se había
convertido en un remanso de locura.
Pendant ce temps, pour Charlotte, prisonnière de sa folie
et ignorant ce qui se passait au Mexique, Miramar, le château de conte de fées,
construit pour servir de nid d'amour, était devenu un havre de folie.
Sus arrebatos de locura, sus períodos
violentos seguidos por momentos impredecibles de lucidez, indicaban que la
curación de Charlotte, en lugar de acercarse, parece estar alejándose.
Ses éclats de folie, ses périodes violentes suivies par
des moments imprévisibles de lucidité, indiquaient que "la guérison de
Charlotte, au lieu de s’approcher, semblait s’éloigner.
Se sentía en la ventana de su
habitación, convencida del inminente regreso de su esposo, explorando
incansablemente el horizonte con la esperanza de que el barco que lo traerá de
vuelta “Maximiliano, amo de la tierra" aparezca.
Elle s’asseyait à la fenêtre de sa chambre, convaincue du
retour imminent de son mari, explorant inlassablement l'horizon dans l'espoir
que le navire qui ramènerait "Maximilien, maître du pays" apparaisse.
Después algunos meses, la emperatriz fue
llevada al castillo de Tervuren en Bélgica, especialmente dispuesto para la
soberana.
Todos recibieron recomendaciones
estrictas para mantener el secreto de la muerte de Maximiliano no juzgándola
lista para enfrentar tal horror.
Après quelques mois, sa famille l’emmena au château de Tervuren
en Belgique, spécialement aménagé pour la souveraine.
Tout le monde avait reçu des
recommandations strictes pour garder le secret de la mort de Maximilien, la jugeant
pas prête à faire face à une telle horreur.
La condición de Charlotte mejoró día a
día. Los signos de demencia se desvanecieron. Ella hablaba poco, pero sin
extraviarse, y cubría una dignidad sonriente que tranquilizó a todos.
La condition de Charlotte s'améliora de jour en jour. Les
signes de démence s'estompèrent. Elle parlait peu, mais sans se « perdre »,
et recouvrait une dignité souriante qui rassura tout le monde.
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Le château de Tervueren
fut construit à partir de 1817 par Guillaume d’Orange, roi des Pays-Bas.
Charlotte, ancienne impératrice du Mexique et sœur du roi Léopold II, y
habita de 1867 à 1879, année où le château fut complètement détruit par un
incendie.

A comienzos de 1868, en vísperas de la
repatriación del cuerpo de Maximiliano en Viena, la familia real belga cree que
ya no podemos "dejarnos en la ignorancia de su doloroso duelo de esta
joven, sin embargo, cuando anunció la muerte valiente.
Au début de 1868, à la veille du rapatriement du corps de
Maximilien à Vienne, la famille royale belge estima qu’ils ne pouvaient plus la
laisser dans l’ignorance de ce douloureux deuil.
Sin embargo, cuando se le anunció,
Charlotte no creyó una palabra en la historia y ella respondió: "el día en
que reaparece ante mí, cubierto de gloria y aclamado por la tierra postrada a
sus pies. Él me hará subir a su lado en el trono del mundo ".
Cependant, quand on lui annonça Charlotte ne crut pas une
seule parole de l’histoire et elle répondit : « le jour où elle
réapparaîtrait devant moi, couvert de gloire et acclamé par la terre prosternée
à ses pieds. Il me fera monter à ses côtés sur le trône du monde ».
En enero de 1869, tras la muerte
trágica de su sobrino, la emperatriz cambia de nuevo en las fantasías, en la
obsesión de la persecución arrebatos violentos, ausencias, discursos
incoherentes, en definitiva, el delirio.
En janvier 1869, après la mort tragique de son neveu,
l'impératrice retomba encore dans ses fantasmes, dans l'obsession de la
persécution, des explosions violentes, des absences, des discours incohérents,
bref, le délire.
En la noche del 10 de diciembre de
1868, Charlotte tuvo un sueño que va a cambiar sus convicciones.
Maximiliano se le apareció para
decirle que esto no es su cuerpo, sino un muñeco de madera que fue enviado a
Europa. En consecuencia, Charlotte puso fin a su luto y durante cuatro meses
ennegrecerá miles de páginas.
Dans la nuit du 10 décembre 1868, Charlotte fit un rêve
qui va changer ses convictions.
Maximilien lui est apparu pour lui dire que
ce n'était pas son corps, mais une poupée en bois qui avait été envoyée en
Europe.
Par conséquent, charlotte mit fin à son
deuil, et pendant quatre mois elle va noircir des milliers de pages.
Terrible observación, la decadencia de
una princesa de veintiséis años, que se había casado con la desgracia cuando pensó
que se había casado con el príncipe azul.
Terrible constat, la déchéance d’une princesse de vingt-six
ans, qui s’était mariée avec le malheur alors qu’elle croyait avoir épousé le
prince charmant.
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