II-La princesse Charlotte Amélie de Belgique.

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a princesa María Carlota Amalia Victoria Clementina Leopoldina, nació el 7 de junio de 1840 en Bruselas, tercera hija del rey Leopoldo I de Bélgica y de Luisa María de Orleans, (hija de Luis Felipe I rey de Francia y María Amelia de Borbón, sobrina de María Antonieta)
La princesse Marie Charlotte Amélie Victoire Clémentine Léopoldine, est née le 7 juin 1840 à Bruxelles, troisième fille du roi Léopold Ier de Belgique et de Louise Marie d’Orléans (fille de Louis Philippe Ier, roi de France et de Marie Amélie de Bourbon, nièce de Marie Antoinette).

La pequeña princesa pasó una infancia de ensueño, por ser la niña de los ojos de su padre, pero desafortunadamente cuando solo tenía diez años, su madre murió de tuberculosis.
La petite princesse a passé une enfance de rêve, étant la « prunelle des yeux » de son père, mais malheureusement, alors qu’elle n’avait que dix ans, sa mère mourut de la tuberculose.



Es en esta época cuando, desarrolló su estricto sentido del deber y la responsabilidad, un rasgo de su carácter que le acompañara durante toda su vida.
C’est à cette époque qu’elle développa son sens aigu du devoir et de la responsabilité, caractéristique de son caractère qui l’accompagnera tout au long de sa vie.

Leopold I estaba convencido de que su hija estaba dotada de todas las cualidades para reinar.
Por eso, a diferencia de otras princesas de la época, disfrutó de una educación similar a la de sus hermanos, recibiendo clases de política, filosofía, literatura, música y arte; dominaba muchos idiomas francés, alemán, inglés, italiano, y el español.
Léopold Ier, était convaincu que sa fille était dotée de toutes les qualités pour régner.
Pour cela, contrairement aux autres princesses de son époque, charlotte bénéficia d'une éducation similaire à celle de ses frères, recevant des cours de politique, de philosophie, de littérature, de musique et d'art ; elle maîtrisait de nombreuses langues : français, allemand, anglais, italien et espagnol.


En su diario, Madeleine, la dama de compañía de la princesa, escribió: 
"A la edad en que las niñas pequeñas juegan con muñecas, Charlotte ya tenía una alta opinión sobre su nacimiento y su posición. A menudo me preguntaba si sus padres podrían haber imaginado cuán peligrosa podría ser esta ambición. "
Dans son journal personnel, Madeleine, la dame de compagnie de la princesse, écrivit : 
« À l’âge où les petites filles jouent à la poupée, Charlotte avait déjà une haute opinion de sa naissance et de sa position. Je me suis souvent demandé si ses parents avaient pu imaginer à quel point cette ambition pouvait se révéler dangereuse. »

La princesa tenía una gran estima de sí misma. Ella quería, toda su vida, seguir siendo la hija de un rey reinante y convertirse en reina también, algún día ..
La princesse avait une haute estime d’elle-même. Elle voulait, sa vie entière, rester la fille d’un roi régnant et devenir reine elle aussi, un jour..

 

Con apenas dieciséis años, no solo por el hecho de ser hija de un monarca acaudalado, sino de su gran belleza, Carlota llamó la atención de numerosos pretendientes.
À seulement seize ans, non seulement parce qu'elle était la fille d'un riche monarque, mais aussi pour sa grande beauté, Charlotte attira l'attention de nombreux prétendants.

Su padre, del cual heredadó "el gusto por la etiqueta y el amor por el poder", pensó muy seriamente en el futuro de su hija, quien era demasiada romántica, soñaba con un buen matrimonio.
Son père, dont elle a hérité « le goût de l’étiquette et l’amour du pouvoir » songea très sérieusement à l’avenir de sa fille, qui romanesque à l’excès, rêvait d’un beau mariage. 


Así, bajo un cielo del norte atormentado por las nubes, en un jardín húmedo de Flandes, una pequeña princesa, en la que se mezclaba la sangre de Francia y Alemania, esperaba el acercamiento de su fabuloso destino ...
Ainsi, sous un ciel du Nord tourmenté par les nuages, dans un jardin humide des Flandres, une petite princesse, en qui se mêlait le sang de France et d' Allemagne, attendait l’approche de son fabuleux destin…

Sin embargo, fue el archiduque de Austria, Fernando Maximiliano que robó el corazón de la Princesa durante una gira por Europa, que le había conducido al palacio bruselense.
En el corazón de esta niña de dieciséis años, secreta y apasionada, fue amor a primera vista.
Cependant, ce fut l'archiduc d'Autriche, Ferdinand Maximilien, qui vola le cœur de la princesse au cours d'une tournée en Europe, qui l'avait conduit au palais Bruxellois.
Dans le cœur de cette enfant de seize ans, secrète et passionnée, ce fut le coup de foudre.  
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Carlota, perdidamente enamorada, le comunicó a su padre que estaba convencida de haber encontrado a su “príncipe azul”.
"Me gustan sus ojos, se puede leer en ellos toda la elevación de su alma», dijo.
Charlotte, désespérément amoureuse, dit à son père qu'elle était convaincue d'avoir trouvé son « prince charmant ».
« J’aime ses yeux, on peut y lire toute l’élévation de son âme » dit-elle.

El Rey belga, afanoso de la felicidad de su hija, aceptó la relación.
Le roi Belge, désireux du bonheur de sa fille, accepta la relation.



Las negociaciones entre las cancillerías se comprometieron de inmediato: "se discutió con firmeza: los austriacos para obtener una mejor dote; El rey para que su yerno tenga una función digna de su rango y de su hija.
Les tractations entre les chancelleries s'engagèrent aussitôt : « on discuta ferme : les Autrichiens pour obtenir une meilleure dot ; le roi pour que son gendre ait une fonction digne de son rang et de sa fille.


El compromiso se celebró en Bruselas a fines de diciembre de 1856.

Les fiançailles furent célébrées à Bruxelles fin décembre 1856.


Ese mismo día, al contemplarse en el espejo, Carlota vio en él "un futuro maravilloso, hecho de amor y alegría, abrirse ante ella".
Ce même jour, se contemplant dans le miroir, Charlotte y vit « un avenir merveilleux, fait d’amour et de joie, s’ouvrir devant elle ».

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