refrán de primavera

En remarquant un garçon courir dans la rue sans plus de protection qu'un chandail à manches courtes et un jeans coupé, Maggie en conclut, avec un sourire tendre, que ces vieux proverbes étaient plutôt casse-pieds.  (Valérie Drouin, La Chatière , Québec Amérique, 2011, chap.4)

Notando a un chico corriendo por la calle sin más protección que una camisa de manga corta y pantalones de mezclilla cortados, Maggie concluye, con una sonrisa tierna, que estos viejos proverbios eran bastante pesados.